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Voici l’énorme vague de solidarité suite à l’intervention d’Anne Roumanoff !

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Voici l’énorme vague de solidarité suite à l’intervention d’Anne Roumanoff !

Il a fallu attendre qu’une comédienne fasse une intervention de 3 minutes pour que les gens se rendent enfin compte du problème des infirmières. Et oui si tu viens tout juste d’arriver cette précédente phrase ressemble à du chinois mais non… Il a bien fallu attendre qu’Anne Roumanoff fasse part de son particulier ‘il y en a marre’ pour que les gens envoie leures réactions à propos du sujet. C’est une vague de solidarité qui s’est répandue sur le web pour soutenir les infirmier(e)s. Nous voulons donc vous faire part de certains témoignages :

LIRE AUSSI : Voici l’incroyable intervention de Anne Roumanoff sur les infirmières !

 

Mélissa :

« Je ne suis pas infirmière seulement auxiliaire de vie mais je sais car je travaille avec des infirmières quotidiennement et je peux le dire oui elle se déplace jour et nuit pour un pansements doivent jouer les psychologues également je leur tire mon chapeau car leur travail est admiratif continuer comme ça vous ne mériter pas ce salaire mais beaucoup plus« 

 

Agostini Christian : 

« Merci de ces pensées 0 combien chaleureuses pour nos anges gardiennes ! Je partage sans savoir quoi faire pour elles !
Je suis solidaire comme des millions d’autres personnes qui savent à qui elles doivent leurs bons soins. »

 

Stéphanie : 

« Je n’oublierai jamais Pierre, infirmier au service pédiatrie de l’hôpital de Meaux. Lorsque ma fille avait 2 ans, elle est tombée gravement malade. Il a su me rassurer, moi, la maman perdue au milieu de tout le dispositif hospitalier. Et avec ma fille, il a été simplement extraordinaire. Au bout de plusieurs jours, il a réussi à enfin lui faire avaler un jus de fruits. Dix ans plus tard, elle s’en souvient encore. C’était tout simple, me direz-vous, mais pour nous, ça voulait dire qu’on allait enfin dans le sens de la guérison. »

 

Fred :

« Je n’oublierai jamais Betty, à l’hôpital Jean-Minjoz de Besançon. Mon père se mourrait d’un cancer du pancréas. Elle a été la seule à lui parler normalement, à se présenter, à lui expliquer les soins. Sous prétexte que les gens sont malades, on leur parle comme s’ils étaient devenus débiles. C’est déjà si difficile, pourquoi en plus les humilier ? Cette jeune infirmière était vraiment formidable, tellement humaine. »

 

Claire : 

« En 2012, mon frère de 19 ans a eu un grave accident de voiture. Il a dû être hospitalisé en réanimation neurologique à l’hôpital d’Amiens. Il ne s’en est pas sorti. Ma famille était dans une détresse incroyable, nous étions anéantis. Une infirmière en particulier nous a énormément aidés. Je me rappelle son regard bleu, empli de peine et de compassion. Je pense que personne ne peut vraiment trouver les mots dans ce genre de moments, mais elle a su trouver les gestes, les attitudes. Elle a su être là, que ce soit par une main posée sur mon épaule, un regard fort, un sourire douloureux. Si je n’ai pas perdu ma tête pendant ces quelques jours, si j’ai pu être forte, c’est en partie grâce à elle. Elle a été ma bouée de sauvetage au pire moment de ma vie. Je ne sais même pas comment elle s’appelle, mais je voudrais lui dire merci. »

 

Laure :

« Une infirmière restera à vie dans mes pensées. Je n’ai malheureusement jamais pu la revoir. Lors d’une opération d’un kyste dans la colonne vertébrale, les médecins devaient me réveiller en pleine opération. Sauf que l’anesthésie m’a « trop » réveillée. J’étais totalement consciente et je ressentais le martyr dans mon dos. Mais une petite main est venue se glisser sous mon drap. Cette main a pris la mienne. Cette main m’a soulagée de mes douleurs en caressant tendrement la mienne. Cette main a apaisé mes angoisses. J’ai ainsi pu me rendormir tranquillement. Je ne connais pas le prénom de cette personne. Je sais simplement qu’elle était infirmière. Je ne pourrai jamais lui dire en face, mais de tout cœur, je la remercie. »

 

Marion :

« L’infirmière qui m’a marquée était France et travaillait à la clinique de Fontenay-aux-Roses. J’étais très jeune et elle m’achetait à coup de biscuits spéculos pour que je reste sage pendant les piqûres. Mais bien plus que des soins, elle m’a donné la vocation. J’exerce à présent ce métier à mon tour. »

 

[Certains de ces propos on été recueillis par le journal 20 Minutes]

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