Arrêtez-tout ! Voici les 5 plus profonds secrets des infirmières !

Une fois dans votre vie, cela vous arrive d’être tombé malade et transporter à l’hôpital. Vous vous êtes cassé le bras ou vous êtes atteint d’une maladie grave. Une chose que personne ne souhaite, ou tout simplement rendre visite à un proche. Dans tous les cas, vous avez déjà croisé ces blouses blanches marchés dans les couloirs tels un fantôme agité. Il se peut que vous lisiez ceci là bas. Peu importe, sachez qu’elles ont des secrets à vous dire.

1- Pleurer est une chose qui arrive une fois chez nous

Déjà, sachez que chez les infirmières, il nous arrive de craquer et de fondre en larme après une journée difficile. Et même si nous donnons cette impression de tout dompter en votre présence, rien n’est facile pour nous. Mais ce n’est pas que la fatigue ni le stress… Tous les jours, on est confronté aux souffrances des patients que l’on réconforte. Nous avons conscience de la douleur que vous éprouvez en perdant votre proche. De plus, prendre soin de vous en étant gravement malade est une tâche fatigante et stressante tant sur le plan physique et psychique. Nos 12h de travail journalier est insuffisant pour achever les procédures médicales, traitements et médicaments. Passer du temps à votre chevet est une chose que nous aimons, ne serait ce que pour vous tenir la main.
Beaucoup de gens nous demande comment nous faisons pour être infirmière ? Les différentes émotions que nous ressentons tout au long de la journée ne disparaissent pas comme ça. Il nous est insupportable de vous regarder perdre quelqu’un en sachant que nous avons fait de notre mieux. De savoir qu’un enfant a le cancer alors qu’il profite à peine de la vie. Ou simplement vous annoncer que vous allez être coincé à l’hôpital un jour de fête. Bref, la seule façon de nous débarrasser de tout cela est de pleurer toutes les larmes de notre corps.

2- On aimerait être considéré comme une amie prête à épauler plutôt qu’un punching ball

Certaines personnes pensent que nous sommes des magiciennes, prête à les soulager le mal qu’elles ont en claquant les doigts. Qu’elles sont reines dès qu’elles franchissent la porte de l’hôpital. Et surtout qu’on doit se plier en quatre à ses exigences. Se plier en quatre oui mais pas pour un seul patient mais pour tous les patients de l’hôpital. En effet, nous souhaitons vraiment vous soulager le mal qui vous arrive, d’ailleurs nous faisons de notre mieux. Ça nous fait du mal quand vous vous énervez contre nous en nous traitons d’incompétent… Des critiques qui sont totalement infondées. On aimerait pouvoir passer plus de temps avec vous. Seulement, notre devoir est d’apporter plus de soins possibles à plusieurs patients possibles dans un bref délai.

3- Réussir une perfusion du premier coup fait notre bonheur

Effectivement, quand nous devons perfuser votre nouveau-né de 6 jours, cela ne révèle pas de la perversion de renouveler l’opération. Nous n’attisons pas de plans diaboliques pour le piquer plusieurs fois avec notre aiguille. Loin de là, nous voulons que cela se passe le plus vite possible et moins douloureux possible. Le fait de manquer une veine et de recommencer nous fait de la peine et nous ne faisons pas exprès. Nous considérons cela comme un échec, un fiasco qui nous fait perdre confiance en nous. Constatez que le fait d’y arriver du premier coup est pour nous un immense bonheur.

4- Faire des sacrifices est notre quotidien

Sachez que votre rétablissement est notre priorité. Ainsi, nous nous retenons même d’aller aux toilettes afin de s’assurer que votre dossier médical est mis à jour. Il nous arrive de sauter le déjeuner pour s’assurer de votre bien. Cela concerne surtout le renouvellement de votre perfusion. Il se peut aussi que vous attrapez une infection liée à votre cathéter, De ce fait, nous devons y veiller comme si cela nous concerne de près. Nous passons la nuit du 24 décembre auprès de vous en disant au revoir à nos enfants. Aussi, nous faisons une promesse à ces derniers comme quoi le père noël les attend chez leur Mamie. Nous faisons tout cela, et bien plus encore, tout simplement parce que vous comptez pour nous.

5- Nous sommes épris d’amour pour vous

Oui, vous pouvez être désagréable, mal poli, désobligeant, et surtout insultant envers nous mais nous vous aimons quand même. Nous faisons ce que nous faisons par vocation et par amour de la vie humaine. On ne peut donc pas compenser un métier aussi dur et bouleversant que celui d’une infirmière par une quelconque somme d’argent. Nous ne faisons pas ce métier pour le salaire mais plutôt pour aider et sauver des vies. Ces choses là font notre bonheur et fierté et sont pour nous les plus grands récompenses. Le fait de vous voir quitter l’hôpital en bonne santé et heureux nous fait éprouver une énorme joie. Nous avons l’impression d’avoir gagner le jackpot.
Tout cela pour vous dire que nous avons déjà vécu les mêmes choses. Surtout le cas de cette patiente qui lutte contre la démence dans la chambre 4. Nous voyons notre grand-mère à travers elle, l’énergie qu’elle dépense malgré son âge. Nous voyons notre ami ou notre frère à travers cet homme d’âge moyen victime d’une maladie dégénérative des cellules nerveuses. Et c’est à travers cette femme au sourire pâle cependant étincelant qui combat son cancer que nous nous voyons. C’est cet amour qui nous anime et nous donne chaque jour l’énergie d’aller travailler.